Le rejet de la majorité parlementaire du projet de réforme portant dissolution du HCCT et du CESE va, forcément dans les jours à venir drainer son corollaire de conséquences. Après une dizaine de tours d’horloge la majorité présidentielle a fini par imposer sa loi. Ce qui de facto maintient encore les deux institutions on ne peut plus « impopulaires » en vie. Et l’une des premières conséquences de ce rejet est l’annonce du dépôt d’une motion de censure ce mardi par la majorité.

En tout état de cause, les jours de l’Assemblée nationale et des deux autres Institutions sont comptés. Pour l’ancien parlementaire de la treizième législature, Cheikh Omar Sy, le Président soit peut passer par voie référendaire pour dissoudre le HCCT et le CESE soit dissoudre l’Assemblée nationale en attendant d’en élire d’autres représentants. Suivant cette logique susmentionnée, le HCCT et le CESE vont encore résister à leurs « détracteurs « jusqu’en janvier ou février 2025. ».

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