Me Ibrahima Amar, greffier en service à Thiès, a utilisé la Journée internationale des femmes pour plaider en faveur de la révision du code de la famille au Sénégal. Il souligne certaines insuffisances du code, en particulier en ce qui concerne la puissance paternelle et l’autorité parentale. Selon lui, il est nécessaire de revoir certaines dispositions du code, en particulier pour permettre aux mères de pouvoir exercer plus facilement la puissance paternelle en cas d’abandon ou de défaillance des pères dans l’accomplissement de leurs responsabilités envers leurs enfants. Me Amar estime que ces ajustements sont nécessaires pour mieux refléter l’évolution des temps et assurer une égalité plus effective entre hommes et femmes.

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