Le projet de barrage de Sambangalou, piloté par la société française Vinci, est confronté à des critiques sévères, qualifié de « manque de sérieux, racisme, ostracisme ». Le projet, frappé par un retard de 12 mois, est accusé de ne pas respecter ses engagements envers les entreprises sénégalaises, en dépit des financements reçus de l’État du Sénégal. Des retards importants dans la réalisation des ouvrages majeurs du projet ont été signalés, et des entreprises locales dénoncent des pratiques discriminatoires.

Des contrats avec des entreprises marocaines et libanaises inéligibles ont suscité des préoccupations, conduisant l’État du Sénégal à bloquer le financement du projet. Vinci aurait organisé des voyages, des fêtes et des dépenses excessives sans respecter les échéances du projet. Les entreprises sénégalaises, comme Ecotra et Sentra, dénoncent des pratiques trompeuses et des violations des accords. Le projet de barrage de Sambangalou, qui implique la construction d’une dérivation du fleuve, est considéré comme crucial pour la région, mais les retards et les problèmes liés à la gestion de Vinci suscitent des inquiétudes quant à sa mise en œuvre réussie. Des accusations de « racisme » et de « manque de sérieux » sont portées contre Vinci, soulignant l’importance de la transparence et du respect des engagements dans de tels projets d’infrastructure.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *