Le climat social se dégrade fortement à la RTS.
Ainsi, les syndicats SYNPICS et SYNPAP tirent la sonnette d’alarme.
Ils dénoncent une dérive managériale qu’ils jugent grave.
Selon eux, cette gestion menace l’avenir de l’audiovisuel public.
Pour cette raison, ils alertent l’opinion nationale et internationale.
Ils fustigent alors des décisions autoritaires et des failles structurelles.

Des accusations de gestion opaque

Au cœur du conflit, les syndicats dénoncent des pratiques opaques.
Ils pointent l’attribution du marché du « Village de la CAN ».
Ce marché aurait bénéficié au frère du Directeur général.
Pour eux, cette décision écarte injustement les services techniques internes.
Ils estiment donc qu’il s’agit d’un conflit d’intérêts manifeste.

Des nominations contestées

Par ailleurs, les travailleurs dénoncent une nomination controversée.
Un proche du Directeur général dirigerait la DAL.
Or, cette personne ne serait pas agent de la RTS.
Selon les syndicats, cette manœuvre contourne les contrôles internes.
Ils y voient aussi une tentative de dissoudre les organes de régulation.

Des acquis sociaux remis en cause

Dans le même temps, les conditions de travail se détériorent rapidement.
Les agents dénoncent la suspension brutale de l’Accord d’entreprise.
Ils regrettent également le retrait de l’avance Tabaski.
Pourtant, cette avance reposait sur un prêt garanti par l’État.
Ils dénoncent aussi le non-paiement d’indemnités électorales.
À cela s’ajoute une gestion défaillante du parc automobile.

Un management jugé éloigné du service public

Les syndicats critiquent un style de vie axé sur la jouissance personnelle.
Selon eux, cette posture nuit aux missions de service public.
Ils citent le voyage du Directeur général au Maroc.
Ce déplacement aurait eu lieu aux frais du contribuable.
Pendant ce temps, l’actualité nationale exigeait une couverture renforcée.

Une mobilisation syndicale annoncée

Face à l’interdiction de leur point de presse, les syndicats réagissent.
Ils jugent cette décision arbitraire et illégale.
En réponse, ils appellent à une mobilisation totale des agents.
Ils demandent le port de brassards rouges sur tout le territoire.

Une détermination intacte

Malgré les pressions, les travailleurs restent déterminés.
Ils affirment vouloir défendre l’avenir de la RTS.
Selon eux, il faut éviter que l’entreprise ne sombre.
Ils dénoncent enfin l’incompétence et le mépris actuels.

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