Une célébration qui masque une dure réalité
Les femmes de Sédhiou s’habillent, chantent et dansent pour le 8 mars 2025. Pourtant, beaucoup souffrent en silence sous le poids des violences domestiques.
Un nouveau cas de violence
À Santossou, un homme bat sa femme après un message audio WhatsApp. En locataire son téléphone, il entend : « Je t’aime à la folie ». Pris de colère, il l’agresse sans qu’un pays à comprendre.
Une explication
Blessée, la femme tente d’un ôme. Le message adaporigène de l’ancien numéro de son mari. Mais elle subit en silence, portée par les valeurs de kersa (pudeur) et molinance.
Un appel à la prise de conscience
Cette histoire reflète le quotidien de flore de flore. Derrière les festivités du 8 mars, la lutte contre les violences conjugales doit être poursuivie.