Guy Marius Sagna a publié un message engagé contre les violences policières au Sénégal.
Il accuse certains agents de perpétuer un système brutal et néocolonial.
Selon lui, ces pratiques bafouent les droits fondamentaux des citoyens.
Il appelle à une rupture réelle avec l’impunité et l’oppression.

Un hommage au duo Diomaye–Sonko

Sagna félicite Diomaye Faye et Ousmane Sonko pour leur réaction aux drames récents.
Il cite les cas de Rosso et Cambérène comme symboles de cette rupture attendue.
Il salue une nouvelle posture politique face aux violences d’État.
Mais il avertit : cette rupture doit aller plus loin.

Une mémoire douloureuse à dénoncer

Il rappelle que des Sénégalais mouraient sous la répression, qualifiés de morts naturelles.
Les familles recevaient des pressions pour enterrer sans autopsie.
La vérité restait souvent étouffée par les autorités judiciaires.
Sagna promet d’être toujours aux côtés des familles des victimes.

Ni vengeance, ni silence

Il rejette la stigmatisation globale des forces de sécurité.
Mais il refuse aussi de couvrir les actes violents de certains agents.
Il insiste sur la nécessité de juger ces dérives sans complaisance.
Pour lui, justice et vérité doivent guider chaque décision.

Un système hérité du colonialisme

Sagna décrit une police construite pour réprimer, non pour protéger.
Il parle de « permis d’assassiner » et de « prime à la torture ».
Il dénonce l’héritage colonial dans la gestion des forces de sécurité.
Il distingue toutefois les agents engagés des agents violents.

Rupture contre continuité : un choix national

Il affirme que cette lutte traverse chaque commissariat, brigade et service public.
Il oppose deux camps : celui du peuple et celui du système oppressif.
Sagna invite chacun à choisir son camp avec clarté et courage.
Il insiste sur la responsabilité collective dans ce changement.

Respecter sans accepter l’inacceptable

Il demande aux citoyens de respecter la loi mais de dénoncer toute violence injuste.
Il invite les forces de sécurité à défendre le peuple, pas à l’écraser.
Le vrai patriotisme, selon lui, protège les droits des citoyens.

Un appel à la résistance contre le système

Sagna refuse d’être complice d’un système néocolonial et corrompu.
Il rejette toute forme d’adaptation au système injuste.
Il appelle à un combat ferme, constant et sans compromis.
Pour lui, seul un engagement radical peut en finir avec ce système.

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